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Perdu dans le Japon profond, aux abords d'un village protégé pour son authenticité avec l'époque Edo, Tsumago, Kagome a acheté il y a quelques années une petite maisonnette traditionnelle. Ce village où la technologie y est interdite pour garder son authenticité est devenu une thérapie. Ici, interdiction de conduire en voiture, pas de télévisions, pas d'ordinateur, aucun réseau internet et très peu de réseau mobile... L'authenticité de ce village repose avec son immersion vers l'époque Edo.

La propriétaire fait tout pour éviter la décadence de cette ère dans sa maison. Le bâtiment est entouré d'un jardin traditionnel, taillé et entretenu par Kagome ou par sa voisine O bāchan Masako. Une vieille dame grisonnante, qu'on peut croiser en se promenant autour de la maisonnette.
L'intérieur de la maison est entièrement de bois, l'isolation est d'époque, l'électricité à peine installée, la japonaise se réchauffe avec un bon feu et cuisine sur celui-ci... Bon, parfois quand elle a la flemme, elle cuisine avec sa gazinière. La bâtisse se compose d'une pièce à vivre, avec cuisine, lit, rangements et bureau, d'une salle d'eau, la pièce est entièrement carrelé, avec une baignoire, un étendoirs pour son linge et une bassine dans laquelle elle lave son linge et d'une dernière pièce des WC... bon pour là, faut pas déconner, son aux dernières normes.
Il y a une dernière pièce, mais peu de chance pour qu'elle vous y amène... Une salle qu'elle utilise pour stocker ses affaires de "travail".

L'endroit est calme et reposant, un endroit idéale pour se détendre et rencontrer une drôle de femme.

Le véritable cœur du culte ne se situe pas au Danemark, mais en Allemagne dans la ville de Cologne. Après de longs travaux sur cette bâtisse afin de la remettre en état, elle est devenue un lieu privé. Au niveau du linteau, gravée dans la pierre, l'inscription suivante : "Lieu de culte de la racine profonde". Deux gardes sont postés en permanence devant l'entrée et n'importe qui ne peut y accéder sans avoir un laissez-passer ou une marque du culte. L'intérieur a été totalement réaménagé et la quasi totalité de l'espace a été utilisée en optimisant chaque recoin.

Le transept fut transformé de façon à pouvoir accueillir un maximum de membres, le chevet est devenu une scène avec un microphone et une étrange statue d'une créature humanoïde se situe derrière ce dernier. A l'est, deux tours s'élèvent, l'une comme l'autre  permettent d'accéder aux étages supérieurs, soient aux étages inférieurs. Le premier niveau a été transformé en bureaux et chambres, néanmoins le second étage, le sommet des tours donc, n'est accessible qu'aux gradés du culte. L'ancienne crypte laisse place, à présent, à un vaste réfectoire dans lequel on peut y manger aux frais du culte. Il y a également une petite arène situé plus profondément sous terre, servant à régler les conflits internes.

Enfin pour finir, on trouve des cellules quelque part où il fait sombre, voilà là la seule indication que vous aurez puisque là encore, seuls les gradés peuvent y emmener les concernés. Bien que la pierre soit omniprésente, l'intérieur demeure tout de même correctement agencé. On y trouve une importante collection de meubles gothiques, en parfait état, beaucoup de tapisseries et moquettes d'un rouge sang et des statues représentant de sombres déités ou personnages. L'espace reste chaud, même en hiver puisqu'il bénéficie d'un bon système de chauffage et bien éclairé, parce que là encore l'installation respecte les hauts standards du groupe. N'oublions pas les nombreuses bibliothèques disséminés un peu partout abritant des ouvrages ésotériques en diverses langues anciennes.

À l'étage du cabinet se trouve un petit appartement ravissant pour une jeune femme tout aussi ravissante. Tout en blanc, le mur du fond étant une verrière impressionnante et rendant l'appartement lumineux et agréable à vivre. Rythmé par le cycle naturel du jour et de la nuit, cet appartement est un véritable cocon pour sa propriétaire.

Composé d'une grande pièce à vivre, servant de salon avec une cheminée d'origine, repeinte en blanche, aménagé délicatement aux goûts minimaliste de la médecin. Canapé, table basse, télévision, un bureau pour travailler et surtout un tapis pilou qu'elle adore.
Il y a également une salle de bain avec une douche et une baignoire, le mur séparant les deux couvert de vigne vierge, avec un grand velux pour rendre la pièce lumineuse. Une cuisine équipée où Aimie adore y passer du temps. Une chambre spacieuse, son lit baldaquin minimaliste trônant dans la pièce, deux tables de chevet et surtout un dressing installé dans un renfoncement dans le mur. La dernière pièce étant une petite chambre d'ami assez simple, avec un lit, une table de chevet et un placard de rangement.

L'appartement a été construit à l'étage de la maison, la charpente étant apparente dans toute l'habitation.

Personne ne peut entrer dans ce lieu sans l'accord d'Aimie F. Erskine.

Entouré d’une masse de verdure, notamment d’un parc situé juste en face, le studio de Moïra se situe dans un quartier calme et assez peu fréquenté, dont la plupart des habitants sont des personnes âgées. Les murs de chaux sont teints d’un jaune orangé, tandis que les fondations et les consolidations de la demeure sont en chêne sombre, tout comme le bois des doubles portes au quadrillage vitré.

Une fois ces dernières passées, une grande pièce se dévoile, à la lumière tamisée par des stores qui se situent sur la fenêtre directement à la gauche de l’entrée. Sur le mur adjacent se trouve une imposante bibliothèque d’un bois presque noir, remplie de livres, certains à la couverture colorée tandis que d’autres semblent plus vieux de par le cuir qui les recouvre. Quelques figurines d’animes et de mangas se disputent la première place sur les différentes étagères.

Contre le mur du fond à gauche se trouve tout un arsenal technologique composé d’un large bureau de chêne sur lequel se trouvent trois grands écrans, tous rattachés à une tour d’ordinateur ressemblant plus à un artefact alien qu’à un ordinateur classique. Un siège de gaming très confortable s’y trouve d’ailleurs pour accueillir sa propriétaire dans ses activités plus ou moins légales.

Plus centré sur le milieu de la pièce se trouve également une cheminée, dans laquelle crépite souvent un petit feu malgré la chaleur régnant la plupart du temps sur le pays.

À la droite du studio se trouve tout un coin cuisine aménagé, elle aussi confectionnée dans le bois le plus sombre, qui semble toujours encombrée d’une pile de choses à nettoyer et à ranger, comme si sa propriétaire ne se souciait pas beaucoup de ce coin précis de sa demeure. C’est là également que se trouve une table basse chauffante, un kotatsu, entouré de coussins confortables pour pouvoir s’installer à terre en toute convivialité.

Partant d’un escalier en colimaçon qui trouve sa base aux alentours du coin technologique, on peut accéder au deuxième étage du studio qui offre une vue complète de l’étage du dessous lorsque les deux imposants rideaux installés là ne sont pas fermés.

Cet étage est dominé par un lit king size à baldaquin en bois, aux rideaux bordeaux, entouré de droite par une vitrine et de gauche par une armoire ainsi que par une petite table de nuit avec une lampe à magma. La vitrine de droite contient de nouvelles figurines et autres goodies ainsi que des artefacts anciens et des fossiles de moindre importance que la propriétaire des lieux a pu reprendre chez elle.

Se trouve en face du lit une fenêtre à stores par laquelle la jeune femme peut observer la vie nocturne, fenêtre donnant également sur un petit balcon sur lequel elle étend son linge en journée et peut admirer les étoiles la nuit par le télescope qu’elle y a placé.

Bienvenue dans Little Séoul, la représentation de la misère d'un peuple soumis à l'exode massif pour fuir l’oppression. La majeure partie des coréens sont peut-être en Europe, mais quelques-uns ont eu le rêve de pouvoir démarrer une nouvelle vie en Afrique et profiter de l'économie ascendante.

Malheureusement... Quand on a pas de moyen dès le départ, difficile de grimper les échelons. Alors le quartier a commencé à se remplir magasin en tout genre, électronique, cuisine traditionnelle, souvenir, le savoir-faire de jadis est la dernière chose qui reste à ses immigrés, les plus miséreux finisissent dans un taxi miteux s'il ont de la chance, sinon dans une maison close ou à jouer les gros bras contre quelques dollars.

La criminalité est plus que présente dans ce quartier : raquette, pickpocket, cambriolage, drogue, l'insécurité est plus que présente, La police ? Bien trop occupée à s'occuper des riches privilégiés dans les quartiers qui rapportent plus d'argent, et puis ils sont grassement payés pour le faire, pourquoi s'intéresser aux poussières sous le tapis ?

Ce quartier grouille toute la journée, matin, midi et soir, l'activité ne cesse jamais le moindre client peut rapporter la bouchée de pain nécessaire pour éviter de crever la dalle dans le caniveau. Un endroit apprécié également de quelques criminels souhaitant se faire oublier, aller chercher une aiguille dans une botte de foin...

Little séoul est constamment illuminé par les centaines de néons éclairant les multiples publicités pour les magasins, le dernier truc à la mode, ou juste pour une question esthétique. Quelques écrans ici et là pour diffuser les « informations » de dernières minutes, mais la plupart ont un éclat de balle en plein milieu ou ne font cracher qu'un bruit de fond inaudible avec le brouhaha ambiant de la population.

Des rues jonchées de déchets, parfois des cadavres dans le caniveau, il n'est pas rare de retrouver sa voiture vandalisée ou son appartement cambriolés si on n'a pas les bonnes sécurités. La moindre occasion est prise pour survivre et faire du profit.