A quoi bon la justice et l’intégrité … ? Notre monde est pourris jusqu’à l’os, le fort dévore le faible, et la proie finira toujours dans un autre estomac que le mien. Il faut éviter de se méprendre, la nature humaine est faible, égoïste, pernicieuse ; Partout ou je pose mon regard, je vois la haine, la cupidité et la soif de pouvoir ; Partout ou je pose mes godilles, il y’a du sang, de la merde ou du foutre même, parfois les trois réunis. J’veux pas faire de généralités, mais je sais comment ça fonctionne à l’intérieur de la tête d’un homme, j’aime regarder les rouages tourner, tourner, se retourner et chercher une solution. Tout ça pour céder à la première pulsion venue, au premier coup de semonce, pour faire une course dont tout le monde se fout du résultat. Le principal, c’est que tout les coups sont permis, et que y’a pas de loi, pas de règles, ni de bon sentiments. Il y’a que des motivations cachées, des envies sombres et secrète, des idéaux dégueux, des monstres planqués sous nos lits, dans nos maisons, bien au chaud. Il faut avoir peur du noir, et du croquemitaine, car malgré tout nos efforts pour maquiller la vérité, pour retarder l’inévitable, pour faire de notre vie un paradis … On en arrive toujours au même point … L’enfer, celui pavé de bonnes intentions, c’est les autres.
Alors ne m’en voulez pas, je préfère largement le numéraire, à l’humanité. Je préfère largement les animaux, plus honnêtes de nature que des hommes –pour la plupart, et qui se cachent que pour survivre. Je préfère les mutants, créatures de malheurs, honnêtes jusque dans leur tourment. Les cabossés, les égratignés, les blessés, tout ses gens qu’on ignore et qu’on maltraite, qu’on subit des tourments plus dur que la mort, et qui reste là, debout, malgré tout. J’ai une profonde haine de ma race, et une sacré admiration pour le paranormal. Non pas que j’en ai quelque chose à foutre de la brume, sachez le, a part la vente de cristaux volés, ou la taxe de protection que j’administre à mes « clients » qui en transportent un dérivé, je m’en fous moi, des pouvoirs.
Tout ce qui m’importe, c’est le sang, l’or, et les vins rouges hors de prix. Rouge et doré, mes deux couleurs, celles la même qui me caractérisent par mon blason, celui du criminel qu’on peine à deviner sous le rude homme des rues.
Il faut être malin, ou bien on ne dure pas longtemps dans le métier.
Alors ne m’en voulez pas, je préfère largement le numéraire, à l’humanité. Je préfère largement les animaux, plus honnêtes de nature que des hommes –pour la plupart, et qui se cachent que pour survivre. Je préfère les mutants, créatures de malheurs, honnêtes jusque dans leur tourment. Les cabossés, les égratignés, les blessés, tout ses gens qu’on ignore et qu’on maltraite, qu’on subit des tourments plus dur que la mort, et qui reste là, debout, malgré tout. J’ai une profonde haine de ma race, et une sacré admiration pour le paranormal. Non pas que j’en ai quelque chose à foutre de la brume, sachez le, a part la vente de cristaux volés, ou la taxe de protection que j’administre à mes « clients » qui en transportent un dérivé, je m’en fous moi, des pouvoirs.
Tout ce qui m’importe, c’est le sang, l’or, et les vins rouges hors de prix. Rouge et doré, mes deux couleurs, celles la même qui me caractérisent par mon blason, celui du criminel qu’on peine à deviner sous le rude homme des rues.
Il faut être malin, ou bien on ne dure pas longtemps dans le métier.
La peau d’ébène fait de lui une unité remarquable. Surtout remarquée. L’illuminé, comme l’appelait son maître d’arts martiaux, mesure à peine cent quatre vingt centimètre. Carrure moyenne, passe partout ; On le remarque surtout beaucoup pour son capillaire. Des cheveux crépus et épais, qu’il coiffe souvent en tresse, dans lesquelles, parfois, se cache des perles d'or ou d’argent. Traits du visage harmonieux, son nez aquilin est plutôt épais, et surplombe des lèvres fines et vermeilles. Qu’on aime ou pas, il ne laisse pas indifférent. Ses yeux mordoré et éclatant comme un prisme, sont perçants, capable de faire passer autant de sentiments que sa bouche ou ses mains. On lit ses émotions assez facilement sur son visage. Un vrai livre ouvert. Sa démarche, les épaules en arrières, le menton bien droit et le nez relevé, montre sa fierté, et sa confiance en lui. Des cicatrices ? Bien qu’ayant de nombreuses fois frôlé le désastre, et s’être battu comme un chiffonnier, il n’en manque pas. Il se scarifie à chaque mort de sa main, pour ne jamais oublier... Ses origines, les guerres, et la passion qu’il a pour la douleur.
Il porte des pantalons assez larges, pas vraiment pratiques pour se battre mais très confortable durant ses voyages à travers les continents. Une veste sans manche l'été vient compléter le tout, mais bien sûr, ce n’est qu’une partie de sa panoplie vestimentaire. Pas de latex pour lui mesdames, il préfère encore son gilet par balle, et son pantalon ajusté, grosses bottes cloutées aux pieds.
Il fume souvent, toujours avec une cibiche à la bouche, Il en a un tas dans sa tabatière. Il sent généralement un mélange de tabac froid, et d’épices que l’on ne saurait déterminer avec précision, sinon que ce soit pimenté !
Il porte des pantalons assez larges, pas vraiment pratiques pour se battre mais très confortable durant ses voyages à travers les continents. Une veste sans manche l'été vient compléter le tout, mais bien sûr, ce n’est qu’une partie de sa panoplie vestimentaire. Pas de latex pour lui mesdames, il préfère encore son gilet par balle, et son pantalon ajusté, grosses bottes cloutées aux pieds.
Il fume souvent, toujours avec une cibiche à la bouche, Il en a un tas dans sa tabatière. Il sent généralement un mélange de tabac froid, et d’épices que l’on ne saurait déterminer avec précision, sinon que ce soit pimenté !
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