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Qu'on ne me dicte pas ma conduite - Awa Kanza [Terminée]

Awa Kanza
Awa Kanza

Carte d'identité
Genre: Femme
Âge: 24 ans
Origine: Congolaise
Orientation sexuelle: Demisexuelle
Nom de code: Twist
Spécialité / Métier: Chef sécurité d'Anansi Technology
Compétences: Violence Niv 1
Accréditations: Skynet
https://enjoyyourcrime.forumgaming.fr/t1396-dossier-awa-kanza
Awa Kanza24 ansFémininCongolaiseBi-romantiqueChef sécurité d'Anansi TechnologyTwistLyudiLe croiséRendre le monde plus sûr et plus juste."Jamais je n'oublierai."
Awa tient en haute estime ses origines, elle est fière de sa famille, de son village et surtout de sa culture. Si au début, elle a sincèrement cru aux promesses corporatistes, qu'elle pourrait s'élever et aider sa famille, aider son village, elle a rapidement déchanté lorsqu'elle a vu l'horreur derrière le rideau de fausses promesses. Destruction, appauvrissement, irrespect... Chaque horreur commise sur son peuple sous ses yeux, a nourrit une profonde colère qu'elle laisse maintenant s'exprimer. L'Afrique doit reprendre le contrôle de ses terres et c'est pas l'insurrection et la désobéissance civile qu'ils y arriveront. Chaque individu a de l'importance dans le système et si de plus en plus d'engrenages déraillent, tout finira par s'écrouler. C'est sa vision naïve des choses. L'horreur se passe sur ses terres et elle ne les laissera plus agir, même si elle combat seule, même si elle se met en danger... Son combat est bien plus important que sa personne ou son bien-être.

"Ne me dîtes pas ce que je dois ressentir."
Peu souvent prise au sérieux, on la voit plus comme une activiste agaçante qui se bat contre Goliath. Une goutte d'eau dans un vaste océan. Sa famille entière s'inquiète de son comportement et de sa colère, eux ont accepté leur sort. Ses camarades d'écoles, ses anciens collègues, sa famille, personne ne l'a jamais réellement pris au sérieux. Une crise passagère, quelque chose qui finira par passer, mettant de côté ce qu'elle ressent et la colère qu'elle exprime. Awa ne supporte plus qu'on lui dise ce qu'elle est censée ressentir, c'est quelque chose qui peut rapidement la mettre hors d'elle. D'un naturel jovial, drôle, mignon et sincère, elle maîtrise sa force et sa colère, sauf lorsqu'elle est face à l'injustice ou qu'on essaie de lui dicter sa conduite. Fière de son histoire et de ce qu'elle est devenue, elle refuse à ce qu'on continue à juger ses réactions et ses actions. Surtout par ceux qui participent allègrement au système qui les pourrit, elle au moins agit.

"M... Moi ?! Tu exagères...
Habituée aux brimades et aux reproches, Awa ne sait pas réagir aux compliments. Rapidement gênée, elle ne sait pas où se mettre, que dire, comment se postée. Ses oreilles font de grands mouvements, elle tente de retourner le compliment... Bref, en général c'est assez drôle à voir. Sensible et émotive, elle ne sait pas cacher ce qu'elle ressent et se laisse en général portée par ce qu'elle vit. Sociale, elle n'a aucune difficulté à s'entourer, à s'attacher, à se déchirer, elle reste une jeune femme attachante et joviale. Militante, elle n'hésite pas à parler de ses opinions concernant la situation sur le sol africain. Entière ses réactions sont toujours vives et fortes, elle ne sait pas être discrète ou mesurée, ça fait partit de son charme... ou ça peut la rendre envahissante et insupportable.

"J'aimerais parfois qu'on me voit comme je me sens à l'intérieur...
S'approprier sa féminité lorsqu'on a sa carrure, dans un monde aux canons de beauté très ancrés, n'est pas forcément une évidence. Persuadée de ne pas être attirante, d'être beaucoup trop grande, beaucoup trop forte, beaucoup trop bruyante, elle se pense toujours incapable de séduire. Elle ne comprend pas les signes d'intérêts d'autres personnes, les interprétant souvent comme de l'amitié ou des comportements étranges, elle passe bien au dessus des métaphores et des compliments dissimulés. Incapable d'être dans la séduction, elle ne s'est jamais exercée...

Depuis quelques années, elle essaie de dompter sa fémininité. Un travail qu'elle affirme par ses choix vestimentaire, par ses postures, par son attitude, elle essaie d'allier sa carrure, dont elle essaie d'être fière et de l'assumer, à l'idée qu'elle se fait de la féminité.
Awa ne passe pas inaperçu, ça c’est certain. Entre sa carrure, son allure et surtout ses mutations, elle n’a pas un physique banal. Si avec son air plein d’assurance, on pourrait la penser sûre d’elle, prête à cogner pour défendre son honneur, elle cache surtout une grande insécurité concernant son physique. Éprouvant des difficultés à se sentir féminine, à coller aux normes de son pays, elle essaie malgré tout d’affirmer sa féminité au travers de ses vêtements et de ses attitudes.

Alors, pourquoi se sent-elle aussi différente ? Déjà parlons de sa taille, 1m92. Entre ses courbes féminines, se dessine une musculature finement travaillée, sculptée aux séances de sport, aux entraînements et au combat. La peau abîmée par endroits de cicatrices blanchâtres cassant son teint cacao. Sa poitrine est voluptueuse, galbée par le sport, chaque parcelle de son corps est une ode à la compétition sportive.

Si déjà sa stature lui offre quelques regards indiscrets, maintenant, depuis son infection au virus Kemonomimi, elle se promène avec une longue paire d’oreilles de lapin blanches, ramenant sa taille totale à 2m30. Longues et musclées, ses oreilles suivent ses émotions, même si sans contrôle total, il lui arrive de les avoir sur le visage, ou de taper quelqu’un avec… Heureusement, sa petite queue blanche est plus discrète. Pour la laisser passer, elle a dû adapter ses vêtements, mais au moins celle-ci ne la gêne pas dans ses mouvements.

Teint exotique, traits ronds, yeux de lynx, elle ne se rend pas compte de ses charmes. Après avoir attrapé le virus Kemonomimi, après avoir encaissé les douleurs et les changements physiques, elle a décidé d’utiliser ça comme un tremplin pour un changement plus profond. Si seules ses convictions ne suffisent plus, son changement doit être plus profond pour changer les choses. Cheveux blanc, yeux rouges, traités définitivement avec des comprimés Umbrella, Awa embrasse maintenant son nouvel animal totem et si on peut le penser inoffensif, la puissance de ses jambes et sa rapidité d’action prouve bien le contraire ~.

Elle possède un tatouage à la base de son oreille droite les lettres manuscrites “Masisi” qui est le nom de sa province d’origine. Un tatouage discret qui est juste là pour lui rappeler d’où elle vient et où sont ses racines.

Awa a un style vestimentaire très changeant. Parfois très féminine, presque à l’excès, parfois plutôt sportif et discret, elle se laisse souvent guider par ses envies et ses sentiments. Au travail, elle porte une tenue très stricte, costard noir, aux jointures souples au cas où il y ait de l’action, chemise blanche et cravate noire. Ses cheveux blancs sont toujours lâchés, sauf lorsqu’elle fait du sport où qu’elle sent l’action arriver. La voir arriver les cheveux relevés sans contexte sportif n’est jamais bon signe ~.  
Awawa, surnom affectif dans sa famille, est l'aînée de sa fratrie, de huit enfants. Issue d'une relation hors mariage, au début cachée dans la famille de sa mère, elle a apprit bien plus tard que son père était un occidental en voyage humanitaire dans son village natal. Masisi n'est pas bien grand et sa mère a été qualifié de bien d'injures, mais elle resta forte. Plus pâle que ses frères et sœurs, elle fut adoptée par son père de cœur, qui épousa sa mère malgré sa réputation, ce qui ramena un peu d'honneur sur sa famille. Déjà enfant, elle a toujours eut ce tempérament combatif. Que ce soit pour aller étudier, pour défendre ses cadets, pour sauvegarder les acquis de sa famille... Eux qui n'avaient pas grand chose, sa mère s'occupant des enfants, son père ouvrier dans une plantation de tabac, elle s'est toujours battu pour défendre leur dignité.

Découvrant la boxe anglaise par hasard, dès ses 8 ans, en observant un vieille homme donner des leçons sur un ring improvisé dans un terrain laissé à l'abandon, elle décida d'y venir chaque jour pour regarder jusqu'à ce qu'on l'accepte. Awa débuta alors doucement, un entraînement fait sur mesure pour sa stature d'enfant, par un ancien boxeur clandestin. Son vécu était fou, sa sagesse dingue. En cachette, elle suivit ses instructions et transforma ses actes quotidien en entraînement. Là où elle pensait que ses parents ne soutiendraient pas, lorsqu'un de ses frères lâcha son secret, elle fut étonné de voir un sourire sur les lèvres de son père de cœur "Awa combats fièrement.". Elle comptait bien le faire.

La chute des États-Unis, la guerre en Corée, tout ça n'avait que peu d'importance pour elle, elle vivait sa petite vie, sans se douter que le mal arrivait sur son territoire.

Les années passèrent, les pays et les villes changèrent. Dès qu'elle put abandonner le foyer, ses frères et sœurs bien plus grands, elle profita de la fin de ses journées pour effectuer de petits boulots afin de se payer des cours de lutte libre. Puis de karaté, puis de judo... Une véritable passion. Lutter sur un combat, mettre à l'épreuve son corps et sa motivation, perdre et apprendre, gagner et fierté... Ses études terminées, décidant de ne pas poursuivre, elle se laissa prendre par les promesses corporatistes. Méritocratie, surpassement de soi, élévation sociale, elle y croyait. Cela lui paraissait juste et elle s'était bien battue pour ça... Enchaînant les petits boulots et ses entraînements, jusqu'à arriver sur une scène clandestine de MMA, elle comprit que sa vie prenait un sens au combat. Perdant match après match, elle y retournait, affrontant ses défauts et ses lacunes, jusqu'à gagner son premier combat à sa majorité. Une belle victoire d'anniversaire. 21 ans, ça se fête ?

La voilà agente de sécurité, un travail qui paie bien. La majorité de son salaire va à son village natale, elle entretient sa famille, aide ses frères et sœurs à étudier, pendant qu'elle enflamme la scène MMA la nuit et le jour enchaîne les services à Kinshasa. Loin de son village, la réalité de la nature vil des corporations lui éclata aux yeux lorsqu'on lui ordonna de déloger des familles et de s'assurer de la restitution de leur habitation. Cette fois, il s'agissait d'un village comme le sien. Les corporations grandissent et dévorent, elles ne s'arrêtent pas. Après ça, elle n'arrêtait pas de voir la décadence de leur système. Tout ces touristes méprisants sa culture, ces bâtiments froids, ces commerces douteux, cette délinquance montante... Il fallait que cela cesse.

Agissant toujours, du haut de ses 21ans, elle sabotait, piégeait, arrêtait, dans l'ombre des forces de l'ordre corrompues les malfrats, les chantiers, les commerces répugnants, tout ce qui touchait de près ou de loin aux corporations, mais son combat n'avait pas de fin. Comme une hydre, elle avait beau se battre, le lendemain, la vie métronomique reprenait son cours. Dépassée, pour une fois, elle était face à un combat perdu d'avance.

Pourtant, une femme s'éleva, reprenant le contrôle d'une corporation tentaculaire. Une maîtresse, bien plus intelligente et raffinée qu'elle. Une alliée à sa lutte ? Cherchant par tous les moyens à se faire remarquer, elle s'y fit embaucher à 22 ans, après avoir campé plusieurs jours devant l'entrée jusqu'à ce qu'elle puisse prouver sa valeur en arrêtant un homme armé prêt à en découdre. Entrant dans la sécurité, elle se rapprocha de plus en plus de la CEO d'Anansi Technology jusqu'à avoir presque une image de petite sœur à ses yeux. Une petite sœur costaude et déterminée. Assignée à sa garde personnelle, elle finit à 24 ans par devenir chef de sa sécurité personnelle. Une promotion qui la rendait fière au vu des bien faits que sa patronne apportait à son pays.

Avait-elle oublié sa petite vendetta personnelle ? Certainement pas ! Sa famille étant loin, sans vie sentimentale, sans vie amicale trépidante, son temps libre et sa paie passait dans ses missions clandestines. Saboter des chantiers, enquêter, mettre des têtes à prix, capturer, livrer à la police, elle agissait pour le bien de son pays et de son continent. Au-delà des corporations, Awa voulait nettoyer les rues de l'injustice. Plusieurs fois, elle croisa un homme, le genre d'homme qu'on croise un peu comme dans les films. Ralentit lent et anxieux, cœur serré, air idiot au visage... Parfois elle le voyait venir, parler avec sa patronne et partir de nouveau, son charisme et son aura mystérieuse piquées la jeune femme qui se jura d'un jour réussir à l'aborder.

Amusant qu'un certain Elon Musk déploya un virus qui donnait des attributs animaux aux personnes le contractant. Et il fallait que ça tombe sur elle, dans une ville si dense, Awa l'attrapa. Les premiers jours, elle resta chez elle avec de fortes douleurs articulaires, des nausées et une terrible fièvre. Au fil des jours, les symptômes disparaissaient, mais quelque chose n'allait pas. Elle avait mal. Terriblement mal. Aux oreilles, au dos, aux dents... Forcée d'être à l'arrêt, dans son studio étroit, elle ruminait, souffrait, ne jurant que par ses anti-douleurs. Ses médecins ne comprenaient pas, mais en voyant son corps évoluer et les actualités, il n'y avait plus de doute : elle avait contracté le Kemonomimi. Horrifiée de se voir changée, elle voyait jour après jour, son corps évoluer, ses oreilles s'étirer, jusqu'à ressemblant à celles des léporidés, une excroissance formée une queue au bout de sa colonne vertébrale, ses canines se limaient facilement alors qu'elle éprouvait des difficultés à digérer la viande... Puis le duvet blanc poussa, recouvrant ses nouveaux attributs, terminant son étrange transformation. Si au début, elle refusait de sortir, se trouvant ridicule et surtout bien plus laide qu'elle se trouvait déjà, elle finit par accepter son sort.

Heureusement qu'elle finit par avoir un déclic, préférant apprendre à s'aimer elle et son corps, plutôt qu'à vouloir le changer, elle tenta plutôt l'approche de se réapproprier sa féminité et ses charmes. Par contre... ça ne l'aida pas à aller aborder son petit crush.

Reprenant ses fonctions, elle reprit également ses activités nocturnes. Jusqu'à ce qu'un soir, lors d'une mission pour sa patronne, elle croisa son mystérieux soldat. Un mercenaire donc. Curieuse, elle se laissa convaincre par son approche de la justice et fut conquit par ses idées, qui finalement ressemblaient beaucoup aux siennes. Un coup de foudre de justice sociale. En tout cas, les voilà embarqué dans une drôle de relation dans des actions fortes pour écraser ceux qu'ils jugeaient en dehors des clous.

Ce qui est sûr, c'est qu'elle n'a jamais arrêté de combattre fièrement ~.


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