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Prédéfinis - Benedict Howard

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Carte d'identité
Genre: Homme
Âge: 4500 ans
Origine: Babylone
Orientation sexuelle: Etrange
Nom de code: L'Admin
Spécialité / Métier: Admin
Compétences: Max
Accréditations: Toutes
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Benedict Howard.47 ans.Masculin.Suédois.Diplomate.Harvey – Stardew Valley.

[Libre]Geyster/Vrach/LyudiBienfaiteur (négociable).Quelque chose en rapport avec la paix dans le monde.
Sois bon, mais pas deux fois. Sinon tu deviendra bonbon, et les gens te mangeront.

Un dicton que Benedict n’a jamais réussi à appliquer, malgré ses efforts, et pour lequel on pouvait le prendre comme exemple de sa véracité.

Certains décriraient Benedict comme un bout de chou adorable. Toujours chaleureux et souriant, prêt à aider avec un mot gentil et une présence rassurante. D’autres diraient qu’il n’est qu’une trop bonne poire, inconsciente de se faire dévorer par les abeilles.

Le fait était qu’il en était bel et bien conscient, mais il ne pouvait s’empêcher d’être ainsi, de donner à qui le lui demandait, que ce soit son temps, son attention, mais surtout son argent. Dans un monde qui va de plus en plus mal, il sait que sa petite fortune lui donne toute sa valeur... Et il l’accepte. Simplement parce qu’il se dit : pourquoi pas ?

Mais si le quadragénaire aime à donner sans compter, pour lui rien ne peut passer avant sa famille : un seul coup de fil de son fils pouvait le faire tout lâcher et sauter dans le premier avion, au diable les conséquences; que ce soit pour un affaire grave ou une simple peine de coeur. Le bien-être de sa femme pouvait passer avant sa propre santé, si nécessaire. Il pouvait se faire avoir, mais lorsque ses proches étaient la cible, le monde entier pouvait devenir son ennemi. Travailler, avoir des passions, ce n’étaient que des passe-temps face à sa réelle mission.

Et en parlant de passion; si Ben a toujours été fasciné par quelque chose, c’était bien les gens. Toujours curieux, toujours ouvert à la discussion, il aimait apprendre à comprendre les gens; une passion qui l’orienta très tôt vers les langues, et, s’il était allé à l’université, probablement les sciences sociales. Il compensait son manque d’éducation avec beaucoup de lecture, et parfois même des séminaires; certaines universités suédoises, voire même étrangères étaient habituées à ses visites.

Si la vie lui a apprit quelque chose, c’est qu’il y a des hauts et des bas.Sa vie avait, on peut le dire, commencé bien haut. Famille bourgeoise d’origine anglaise, immigrée en Suède il y avait de cela plusieurs générations, qui avait su se faire une place de choix. Benedict était le cadet des trois enfants : choyé et sans aucune responsabilité, si ce n’était de ne pas faire honte à leur Nom, sa vie promettait d’être un long fleuve tranquille.

Malgré cela, il parvint à faillir à sa seule mission, lorsqu’il tomba follement amoureux de Tomie, une jeune japonaise en échange linguistique. Intrépide, débrouillarde, cancre, elle était l’opposé total de tout ce qu’il avait connu jusque-là, et elle l’émerveilla. Il abandonna tout, son avenir, son argent, sa famille, pour partir avec elle sur les routes. Faire le tour du monde, qu’ils disaient.

Cependant, sur un malentendu stupide, ils se retrouvent après seulement quelques mois à devoir poser bagages : Tomie était enceinte. Ils décident de s’installer à Tokyo, une ville familière à la jeune Japonaise et assez loin des Howard. Ils dégotèrent un petit appartement, “en attendant”, avec le peu d’argent qu’il leur restait. Mais Benedict avait confiance, il avait des bases en Japonais et pourrait trouver un travail, au moins de quoi leur permettre de tenir !

La naissance de Karū fut le plus beau jour de sa vie. La nouvelle lueur de son existence qui le poussait à redoubler d’efforts. Lui qui avait toujours rêvé de fonder sa propre famille, de quoi pouvait-il rêver de plus ?

Peut-être que Tomie, maintenant sa femme, participe un peu plus. Un an après la naissance de leur fils, elle n’avait toujours pas essayé de trouver du travail, le laissant assurer les dépenses du foyer avec son maigre salaire d’intérim. Mais il comprenait qu’elle veuille s’occuper du bébé, et puis elle devait se reposer, l’accouchement avait été compliqué.

Deux ans, trois, quatre... Et il commençait à douter de sa bonne foi. Ce qui l’inquiétait le plus était l’état dans lequel il retrouvait souvent Karū en rentrant le soir : recroquevillé dans un coin de la maison, silencieux, là où il était débordant de vie lorsqu’il était avec lui.

Cinq, six... Il réalisa finalement que si leur situation ne s’était jamais amélioré malgré ses promotions n’étaient pas parce que “le gamin coûte cher”, mais parce que Tomie se droguait. Après avoir englouti leurs économies, elle avait commencé à s’endetter. Toutes leurs confrontations se soldaient en échec, alors qu’il tentait de la convaincre d’arrêter. Elle n’était plus la femme qu’il avait connu et aimé des années plus tôt, mais il voulait l’aider, il ne pouvait pas la laisser dans une telle situation. Il devait...

...Il devait abandonner. Ce fut la déchirante conclusion à laquelle il était arrivé, trop tard, après qu’elle ait tenté d’injecter sa drogue dans le bras de leur fils.

C’était de sa faute. Il avait failli en tant que père. Il se jura ce jour-là que ça ne se reproduise plus jamais.

Après l’incarcération de sa femme, il se lança dans un enfer administratif pour à la fois rembourser ses dettes et lancer une procédure de divorce. Il voulait s’acquitter de son passé, et refusait l’idée que cette histoire suive leur fils dans sa vie adulte. Après deux ans de combat, il était libre, et décida de refaire sa vie : il rentra au pays.

Avec sa maitrise des langues, son bagage de globe-trotteur et son nom de famille, il fut recruté comme diplomate. Un poste qui payait largement mieux, mais qui le faisait beaucoup voyager, l’éloignant de son cher petit bébé. Il restait constamment en contact avec lui. Mais si Karū se plaignait souvent du froid, cette nouvelle vie semblait lui plaire.

La situation mondiale fluctuante et l’“incident” des USA lui donnèrent encore plus de travail, rendant sa position à la fois plus importante et plus délicate. Un métier qu’il n’aurait jamais cru à risque, et pourtant... Mais pour un attentat, il y avait cent soirées de charité, mille poignées de main, et un nombre incalculable de sourires polis échangés.

Aujourd’hui, il continue de se consacrer à son travail, et de faire ce qu’il fait de mieux : donner de sa personne pour aider les gens.




Ceci est l'histoire de base du personnage, mais beaucoup de détails restent libres/modifiables, n'hésitez pas à venir en discuter ! Une fois pris, le perso devient le vôtre, alors amusez-vous !


Karū HowardFilsCelui qui a toujours eu la plus grande place dans le cœur de Benedict. Ils ont tous deux toujours été très proches, se rendant visite régulièrement, malgré leurs emplois du temps chargés. Duo assez fusionnel, ce fut leur lien qui leur permit de surmonter l’épreuve que fut l’arrestation de sa femme, et qui les fit tenir le coup à plus d’une difficile occasion. Maintenant adultes, ils n’ont pas de problème à se parler d’égal à égal, et à se comporter comme deux amis proches (même si Karū se passerait bien de certains détails).

Ben garde toujours un œil sur son fils, que ça soit en contact direct ou via d’autres moyens. Après ce qui est arrivé avec Stafan, Ben est devenu un peu plus “poule”, même s’il veille à ne pas l’étouffer.



Aimie F. ErskineMédecin traitante.Difficile d'oublier la petite bouille d'ange de la gentille médecin de campagne. Aimie marque, surtout ses patients. Leur rencontre a été ponctué de purs maladresses, et maintenant la rosée est la médecin traitante de Mr. Howard. Malgré la distance, son petit cabinet étant situé en Bretagne en France, il vient toujours avec plaisir car il sait qu'à son cabinet, il sera bien traité, en toute discrétion et toujours avec le sourire. En plus le cadre est charmant ~ Aimie apprécie beaucoup leur contact, parfois ils vont aux petites confidences, parfois aux grands éclats de rire, se voir est toujours synonyme de bonne humeur et de bonne entente. Jusqu'ici, ils n'ont jamais fait le pas de se voir à l'extérieur du cadre médical. Leur rencontre ? Bande de curieux ! Ils se sont rencontrés à une soirée caritative en Écosse, à l'époque où Aimie était encore médecin généraliste à domicile. La pauvre était souvent fatiguée, courait partout... En tout cas, elle était là pour aider, une bénévole adorable, polie et passionnée par la cause et Mr.Howard lui venait faire une bonne action en investissant dans cette association qui avait pour but d'aider les enfants atteint de cancer. Tout a commencé sur un verre renversé sur la jeune femme et celle-ci, maladroitement a fait tombé son pot d'encre sur lui... Bref, ils ont fini la soirée à essayer de se nettoyer aux toilettes.