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Dossier - Yoka Ombeni [Terminée][18+][R]

Yoka Ombeni
Yoka Ombeni

Carte d'identité
Genre: Femme
Âge: 28 ans
Origine: Congolaise
Orientation sexuelle: Hétérosexuelle
Nom de code: Bunzi
Spécialité / Métier: CEO d'Anansi Technology
Compétences:
Accréditations:
https://enjoyyourcrime.forumgaming.fr/t1342-dossier-yoka-ombeni-
Yoka Ombeni28 ansFemmeCongolaiseHétérosexuelleCEO d'Anansi TechnologyBunziLyudiLe DominateurDévelopper son pays et y régner
Eliminer toute mégacorporation concurrente
Tout donner pour son peuple et son pays, voilà le crédo de Yoka, un qu’elle a appliqué chaque seconde de sa vie, et qu’elle continuera à appliquer tant qu’elle respire. Cela dit, malgré ces intensions plus que louable, il est difficile de voir Yoka Ombeni autrement que l’apparence qu’elle laisse voir au grand jour. Une femme froide et arrogante, xénophobe et ayant un fond légèrement misandre.

Et dans un sens, il n’était pas étonnant qu’elle le soit. Elle avait sué sang et eau pour en arriver là, vendu son corps et son âme aux diables capitalistes, avant de comprendre que le seul moyen de réussir quoi que ce soit dans cette vie pourrie était de suivre leur chemin, d’empiler les cadavres sous ses pieds jusqu’à ce que nul n’ose se dresser devant elle et devant son peuple. N’était-ce pas là la nature même du capitalisme ? Ingérer et digérer la compétition afin de l’ajouter à la liste des armes à disposition pour faire sa place dans le monde.

Ce concept, elle l’a assimilé sans aucun problème. Son corps est une arme, son cœur tout autant, tout comme son sourire. Chaque mouvement était pensé et mesuré, chaque parole pesée pour avoir le plus d’effet possible, pour arriver à ses fins. La domination commerciale complète sur son pays, seul moyen pour elle de le faire sortir des affres actuels.

Une bonne description de l’africaine est un esprit d’acier dans un corps de velours.

Pourtant, les rares privilégiés pouvant la voir dans un cadre plus privé décriront une femme marquée par la vie, brisée par le masque qu’elle porte tous les jours sans pour autant arriver à le retirer pleinement malgré ses efforts pour être normale. A force de se grimer en monstre, elle a du mal à se le sortir de la peau, et son côté hautain et arrogant est devenu part entière de sa personnalité. Elle est caustique, ne tolère aucun manque de respect envers elle et son peuple et a du mal à accorder sa confiance à d’autres.  

Au-dessous de toute cette noirceur se trouve toujours les ruines de la petite fille un peu fragile et idéaliste qui voulait sauver son pays et faire honneur à ses parents. Ses objectifs sont un reflet de celle-ci, un memento de ce qu’elle souhaitait avant de se faire briser par les rouages du système. Memento qu’elle refusait de laisser aller au vent. C’était cet objectif, ces règles qui lui permettaient de se lever le matin, de faire face à toutes les atrocités qu’elle commettait.

Une laisse serrée autour de son âme, maintenant le monstre en cage pour qu’il ne dévore pas ce qu’elle aimait par-dessus tout.
A l’approche de Yoka, une chose saute aux yeux avant toute chose. L’or. La jeune femme est couverte de parures et d’éléments décoratifs en or pur, arguments flagrants d’une vanité démesurée chez l’africaine. Son corps est une ode à la beauté, elle l’a souvent entendu et en joue désormais pleinement. Que ce soient des accessoires dans ses cheveux pour nouer ses tresses, un diadème, son collier, le corset qui lui recouvre une partie du dos et des épaules, bien même les pièces sur ses jambes, chevilles et mains la jeune femme en est couverte. Elle savait qu’elle était un appel ouvert au crime au vu de la quantité d’or sur sa personne, et beaucoup pensaient que son arrogance était pleinement en cause pour cela. Il n’en était rien.

Limitant ses mouvements et légèrement sa respiration, il s’agit autant d’un argument de puissance qu’un carcan qu’elle s’imposait, signe que la richesse n’était pas une fin en soit mais qu’un moyen, l’orientant à chaque seconde de chaque jour vers la voie à suivre. Un testament manifeste de sa détermination et de sa volonté de toujours se souvenir de qui elle était, même entourée de luxe.

Pour ce qui est de sa personne, le deuxième point le plus frappant en la voyant est son regard. Il est d’une couleur peu habituelle, un vert noisette peut fréquent chez les populations Africaines. Souligné par un maquillage choisi avec précision, elle en a fait une arme capable de convoyer nombre de menaces et de promesses sans que mot ne soit dit.

Surplombant son beau visage trônent ses cheveux, très ondulés, à la limite du crépu, qu’elle maintient toujours dans une coupe mettant en avant ses traits fins. Elle les laisse parfois libres de leur carcan pour dormir, mais ce n’est que peu habituel au vu du temps passé à les préparer.

Elle est plutôt fine, travaillant son corps lors de son temps libre pour éviter le surpoids que la nourriture de qualité qu’elle ingérait et le stress risquaient de lui causer. Cela lui permit de surplomber avec grâce beaucoup de ses interlocuteurs, ses 1m84 étant surprenants pour une femme de cette posture, et ses 80 kg lui donnant quelques rondeurs harmonieuses au lieu d’en faire un bâton comme ses mannequins qu’elle jugeait tant.

Sa manière de s’habiller est également travaillée, puisqu’elle affectionne très souvent les habits et robes de couleur blanche, contrastant agréablement avec sa peau sombre.

Aussi travaillés sont ses manières et ses déplacements. Elle était de la haute société et tout dans son apparence reflétait cela, elle-même, son regard inquisiteur et légèrement dédaigneux, son port altier et la prestance avec laquelle elle savait se comporter.  

Tout cela offrait une arme redoutable à une femme n’ayant aucune hésitation à s’en servir.
Déjà petite, Yoka savait qu’elle reprendrait l’entreprise de son père. Elle était née dans la richesse et le confort, avait eu le droit à tout ce dont elle avait besoin. Jouets, éducation dans les meilleures écoles privées du Congo. Une vie de rêve pour cette petite fille Congolaise qui pouvait déjà à cet âge comprendre à quel point elle était chanceuse. Et détester que tous n’aient pas cette chance de pouvoir manger à sa faim, de jouer, d’avoir une éducation de grande qualité.

Cela ne l’empêcha pas de profiter de tous ces privilèges, avant que la catastrophe arrive. 2018, l‘année de ses quatorze ans et l’annihilation des Etats-Unis. Ça aurait pu être une année comme les autres pour la jeune fille, son pays peu touché par des conflits de l’autre côté de la planète. Pourtant, ce fut la fin d’une vie de rêve et le début de sa descente en enfer. Interne en école privée, elle venait d’apprendre la mort de ses parents, partis à Miami récupérer des clients pour les ressources naturelles que l’entreprise récoltait.

Nommée unique destinataire du testament de ses parents, Yoka pouvait théoriquement continuer ses études. Et c’est ce qu’elle fit dans un premier temps, le vice-président actuel assumant la régence de son entreprise. Pourtant, en apprenant, en s’intéressant à son héritage, elle constata que tout n’était pas blanc. Corruption, malversations, son héritage était dilapidé lentement mais sûrement par ces riches capitalistes blancs qui se gavaient sur une proie chétive et sans défense. Leurs employés, les citoyens de ce pays qu’elle aimaient tant étaient sous-payés et exploités. Tout ce en quoi elle croyait était bafoué. Elle devait faire changer les choses.

Une adolescente de quinze ans, les yeux braqués sur un futur radieux et emplie de détermination entra dans un bureau pour faire entendre ses revendications. Une femme brisée du même âge en sortit, le corps et le cœur meurtri par la violence de ce qu’elle venait de subir. Elle n’avait aucun pouvoir et venait de comprendre le plan de ceux qui convoitaient son entreprise. Faire d’elle une poupée de chair à leurs ordres, simple marionnette qu’ils manipuleraient pour accaparer les richesses du pays.

Et elle était prisonnière de leur toile, incapable de réagir face à une violence psychologique et sexuelle qu’elle savait imminente. Les autorités locales étaient corrompues et aux ordres, elle le savait. Se plaindre auprès de la police était s’exposer à pire encore. L’âge d’or était passé, venait le temps des regrets et de la douleur. Tout ce qu’il lui restait, c’était son esprit, aiguisé par l’éducation qu’elle avait eue, et ses relations.

Alors que son corps agissait, obéissant, s’agenouillant devant ses nouveaux maîtres, accomplissant sans broncher leurs moindres désirs, elle se renseigna, contacta des connaissances discrètement, exposa une version édulcorée de sa situation à des avocats en droit des affaires étrangers. Les conseils qui lui furent donnés étaient réalisables, complexes, lourdement basés sur le droit local, ou l’absence de celui-ci.

Des années de travail pour une femme abusée, des années à subir son sort en serrant les dents. Une régence de l’entreprise continuée alors qu’elle venait de passer ses dix-huit ans, des humiliations et des sévices sexuels continus pendant de longues et horribles années. Puis vint le moment de la délivrance.

Elle se souviendra toute sa vie de cette date. Le huit mai 2029. A l’âge de ses 25 ans, la jeune femme avait finalement tout ce qu’il lui fallait pour mettre en place sa vengeance. Pendant dix longues années, elle avait appris tout de ses bourreaux, détourné de l’argent comme elle le pouvait. Elle était prête.

Durant ses années d’attente, elle avait pu voir la mainmise qu’avaient les mégacorporations européennes et asiatiques sur le continent Africain. Elle put constater avec effroi le sort des populations locales, simples rouages d’une machine qui travaillait désormais pour les essorer et leur retirer jusqu’à la moindre goutte de sang et de sueur pour les broyer ensuite. Elle n’était pas la seule victime de ce désastre, et tristement, elle n’était pas la pire victime non plus. Après tout, ils avaient évité de la blesser pour laisser planer l’apparence qu’elle allait bien. C’était une délicatesse dont toutes leurs poupées ne jouissaient pas.

Et cette journée du huit mai 2029 était particulière pour ses bourreaux. Le premier jour de réunion pour créer une nouvelle mégacorporation, une entreprise tentaculaire qui finirait d’enserrer le gouvernement et le pays dans une étreinte mortelle. Et en tant que dirigeante de l’entreprise, au moins nominativement parlant, elle devait signer. C’était une obligation, elle avait été prévenue clairement de ce fait.

Le jour venu, elle était donc sur place, entrant comme de son habitude, la tête haute pour dissimuler ses réelles pensées et le trouble qui agitait son cœur. Malheureusement pour ses tortionnaires, ce jour-là elle n’entra pas seule mais suivie d’une escouade armée, qui fit instantanément feu sur les membres du conseil d’administration qui l’avaient martyrisée pendant dix longues années et laissant intacts les représentants des autres entreprises.

Profitant de leur choc et de leur horreur, la jeune femme glissa simplement un dossier devant eux, exposant l’étendue de la corruption de feu les membres du conseil d’administration, ainsi que son projet détaillé pour l’avenir et celui de son entreprise. Aux représentants des autorités locales qui avaient vu leurs bienfaiteurs mourir sous leurs yeux, elle offrait une promesse que rien ne changerait, et des plans détaillés une fois de plus sur les futurs bénéfices qu’ils retireraient de son changement de cap.

Après des discussions musclées, durant lesquelles la jeune femme a gardé un sang froid absolu malgré le sang qui avait coulé et la fin d’années de sévices, Anansi Technology vit le jour, une mégacorporation sous son contrôle, contre rémunération conséquente de ses cosignataires. Une victoire pour Yoka qui avait su reprendre la main sur l’enfer qu’était devenu sa vie.

Malgré tout, ces dix années de souffrance avaient eu plus d’effet qu’elle ne pensait. Si elle oeuvrait toujours pour le bien de son pays et de son peuple, offrant des métiers qualifiés d’abord et avant tout aux travailleurs locaux, elle dût vite se rendre compte qu’elle avait bien changé. L’idéaliste était morte, et le diable capitaliste vivait et respirait à sa place.

Les petits commerces locaux furent les premiers absorbés sous son égide, offrant des conditions de vie bien meilleures à ses employés. Ceux refusant n’eurent pas le choix au final, une série de malencontreux accidents les forçant à se débarrasser de leurs activités. Puis vint le gouvernement local. Remplacé un par un tandis que ceux ayant eu vent du calvaire qu’avait vécu la jeune congolaise souffraient de son hospitalité et de la haine qu’ils avaient si soigneusement cultivé en elle.

L’aube se levait désormais sur 2032, et Anansi Technology avait grandi jusqu’à étendre ses tentacules jusqu’au gouvernement du pays, accomplissant ainsi le dessein de ceux qui un jour avaient tourmenté Yoka. Mais pour cette jeune femme qui voulait créer une utopie pour son peuple, ce n’était que le début.

Elle allait faire du Congo un paradis, qu’elle contrôlerait dans les ombres. Rien d’autre ne lui suffirait.


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